الثلاثاء، 11 ديسمبر 2012

Photorésistances




Les photorésistances sont des composants
photosensibles dont la valeur
ohmique varie en fonction de l’intensité
de lumière qu’ils reçoivent.
Une photorésistance mesurée dans
l’obscurité a une valeur d’environ 1
mégohm. Si elle reçoit un peu de
lumière sa valeur descendra immédiatement
aux environs de 400 k½. Si l’intensité
de la lumière augmente, sa
valeur descendra vers les 80 k½. Si
elle reçoit une lumière forte, sa résistance
descendra jusqu’à quelques
dizaines d’ohms (voir figure 60).
Les photorésistances sont utilisées
pour la réalisation d’automatismes
capables de fonctionner en présence
d’une source lumineuse.
Prenons l’exemple de nombreux ascenseurs.
Dans un des montants de porte 

LA RESISTANCE unité de mesure l’OHM

  
Petite précision qui a son importance !
Voici les formules que l’on retrouve dans tous les textes d’électronique
:
ohm (Ω) = kilohm (kΩ) : 1 000
kilohm (kΩ) = ohm (Ω) x 1 000
ohm (Ω) = mégohm (MΩ) : 1 000 000
mégohms (MΩ) = ohm (Ω) x 1 000 000
Nombreux sont ceux qui commettent des erreurs parce qu’ils ne tiennent
pas compte du fait qu’un kilohm est mille fois plus grand qu’un
ohm, et qu’un ohm est mille fois plus petit qu’un kilohm. Donc, si l’on
veut convertir des ohms en kilohms, il faut conserver à l’esprit qu’il
faut diviser et non pas multiplier les ohms par 1 000.
Par exemple, pour convertir 150 ohms en kilohms nous devons tout
simplement faire : 150 (Ω) : 1 000 = 0,15 kΩ.
Tandis que pour convertir 0,15 kilohm en ohms nous devons tout
simplement faire : 0,15 (kΩ) x 1 000 = 150 Ω.
Dans le tableau 5 apparaît ce que certains pourraient considérer
comme l’inverse de ce qui vient d’être dit mais c’est bien exact car
si on multiplie 1 Ω par 1 000 on obtient bien 1 kΩ!
Ce qui vient d’être énoncé vaut également pour tous les tableaux qui
 figurent dans la 1ère leçon



LA RESISTANCE
unité de mesure
l’OHM
Tous les matériaux ne sont pas bons
conducteurs d’électricité.
Ceux qui contiennent beaucoup d’électrons
libres, comme par exemple l’or,
l’argent, le cuivre, l’aluminium, le fer,
l’étain, sont d’excellents conducteurs
d’électricité.
Les matériaux qui contiennent très peu
d’électrons libres, comme par exemple
la céramique, le verre, le bois, les
matières plastiques, le liège, ne réussissent
en aucune manière à faire
s’écouler les électrons et c’est pour
cela qu’ils sont appelés isolants.
Il existe des matériaux intermédiaires
qui ne sont ni conducteurs, ni isolants,
comme par exemple le nickel-chrome,
le constantan ou le graphite.
Tous les matériaux qui offrent une
résistance au passage des électrons,
sont utilisés en électronique pour
construire résistances, potentiomètres
et trimmers, c’est-à-dire des composants
qui ralentissent le flux des électrons.
L’unité de mesure de la résistance électrique
est l’ohm. Son symbole est la
lettre grecque oméga (Ω),
Un ohm correspond à la résistance que
rencontrent les électrons en passant
à travers une colonne de mercure haute
de 1 063 millimètres (1 mètre et 63
millimètres), d’un poids de 14,4521
grammes et à une température de 0
degré.
Outre sa valeur ohmique, la résistance
a un autre paramètre très important :
la puissance maximale en watts qu’elle
est capable de dissiper sans être
détruite.
C’est pourquoi vous trouverez dans le
commerce des résistances de petite
taille composées de poudre de graphite
d’une puissance de 1/8 de watt ou de.

Apprendre l’électronique en partant de zéro

LEÇON N°1


Apprendre
l’électronique
en partant de zéro
 
 
Le courant électrique
Chaque jour, nous profitons des bienfaits
du courant électrique. Le secteur
220 volts fournit le courant nécessaire
pour allumer les lampes de la maison,
faire fonctionner le réfrigérateur,
la télévision ou l’ordinateur. Les piles
nous fournissent le courant nécessaire
pour écouter notre baladeur ou pour
téléphoner avec notre portable.
Le courant électrique ne s’obtient qu’en
mettant en mouvement les électrons.
Pour comprendre ce phénomène il faut
nécessairement parler de l’atome.
L’atome, pour celui qui l’ignorerait encore,
est constitué d’un noyau constitué
de protons (de charge positive) et
de neutrons (de charge neutre). Autour
de ce noyau tournent, à la vitesse de
la lumière (c’est-à-dire à 300 000 km
par seconde) des électrons (de charge
négative). La figure 1 est explicite.
On pourrait comparer l’atome à un système
planétaire miniaturisé avec au
centre le soleil (noyau de protons) et
autour de nombreuses planètes (électrons)
qui seraient en orbite.